Un réseau de proximité
OCP s’appuie sur une organisation extrêmement précise associée à un maillage très fin du territoire. La proximité créée avec sa clientèle a assis sa crédibilité et forgé sa réputation.
Aujourd’hui, OCP se base sur son réseau de 39 établissements pharmaceutiques, et son nouvel établissement national de pointe, pour vendre et livrer quotidiennement 2 millions de médicaments et produits de santé. Afin d’accompagner au mieux les officines et les réseaux de pharmaciens, en leur offrant notamment un large éventail de services et une plus grande réactivité d’approvisionnement, OCP a organisé l’implantation de ses établissements sur le territoire français en six grandes régions comptant, chacune, un établissement régional de référence (Paris, Lille, Nantes, Lyon, Toulouse, Marseille).
Grâce à cette organisation, OCP a la capacité de livrer toutes les pharmacies de France qui en font la demande quotidiennement. L’entreprise fait mieux que certains acteurs majeurs du secteur de la logistique !
Un nouveau modèle de distribution pharmaceutique plus simple et plus efficace
Pour lutter efficacement contre les tensions d’approvisionnement de médicaments auxquelles la France fait face depuis plusieurs années, OCP a fait le choix audacieux de réinventer son modèle de distribution pharmaceutique.
Ainsi, depuis 2017, OCP a conçu une plateforme logistique de nouvelle génération qui vise à réduire à zéro d’ici 2024 les ruptures d’approvisionnement liées à la distribution. Cet établissement national, situé à Baule dans le Loiret, centralise en un même lieu les produits pharmaceutiques fournis par les laboratoires pour les redistribuer au sein des différents centres de répartition, en fonction des commandes des officines.
Il s’agit d’une innovation majeure qui offre aux laboratoires et aux pharmaciens plus de réactivité et permet une livraison des produits davantage en phase avec les besoins des officines, au bénéfice des patients.
Ce dispositif est un effort important du groupe OCP et représente une approche unique en France et en Europe. Ce nouveau modèle contribue aussi à développer un mode de fonctionnement vraiment collaboratif avec les laboratoires (partage d’informations sur la durée d’une rupture, sur la date de remise du produit sur le marché, etc.).
